Un expert aéronautique révèle une théorie alarmante sur le crash meurtrier du vol Air India

Le Boeing 787 d’Air India s’est écrasé peu après son décollage d’Ahmedabad en juin 2025, faisant 241 victimes et déclenchant une crise mondiale. Un spécialiste expose désormais des conclusions troublantes sur les origines de cette tragédie aérienne.
Un signal d’alarme retentit peu après le décollage
L’appareil venait à peine de s’élever à 190 mètres que l’équipage émettait déjà un mayday. Les secondes suivantes, l’avion percute le sol dans un terrible crash, immédiatement enveloppé par les flammes. Des témoins décrivent une explosion spectaculaire et des efforts héroïques de riverains pour secourir les survivants. Si une boîte noire a été récupérée, son décryptage n’a pas encore livré tous ses secrets.
Une chute brutale qui interroge
Pour Dr Sonya Brown, spécialiste en aérodynamique, les premières analyses pointent vers une chute vertigineuse de la vitesse. L’hypothèse d’un décrochage aérodynamique est avancée : ce phénomène technique survient quand l’appareil ne parvient plus à maintenir sa sustentation. Une défaillance moteur pourrait en être la cause, mais les investigations doivent encore confirmer cette piste.
Des alertes techniques ignorées ?
Certains voyageurs ayant voyagé sur ce même Boeing quelques heures auparavant rapportent des problèmes électriques inquiétants : systèmes en berne, cabine plongée dans le noir… Des images montrent d’ailleurs la Ram Air Turbine (RAT) déployée, ce dispositif d’urgence qui prend le relais lors de pannes majeures d’énergie. Ces éléments accréditent la thèse d’une avarie technique catastrophique.
La piste d’une confusion dans le cockpit
Le commandant Steve Chen, vétéran de l’aviation, envisage un scénario troublant : le copilote aurait pu actionner par erreur les commandes de volets au lieu de celles du train d’atterrissage. Cette méprise aurait drastiquement réduit la portance de l’appareil. Les photos montrant le train toujours sorti lors de l’impact ajoutent du crédit à cette théorie déroutante.
Météo clémente et poids conforme
Tous les experts l’affirment : ce jour-là, le ciel était parfaitement dégagé. Aucune perturbation atmosphérique notable. Par ailleurs, le poids total au décollage respectait scrupuleusement les limites autorisées. Normalement, l’avion aurait dû pouvoir compenser la défaillance d’un réacteur sans conséquence dramatique.
L’enquête se poursuit activement
Avec l’aide d’experts internationaux, les autorités indiennes examinent minutieusement les données des enregistreurs. Toutes les possibilités sont sur la table : dysfonctionnement technique, erreur humaine, bug électronique ou même carburant altéré. Ce crash, le plus meurtrier pour Air India depuis près de 30 ans, relance le débat sur les standards de sécurité aérienne.
Un drame aux multiples inconnues, qui nous rappelle cruellement qu’en aviation, le diable se cache souvent dans les détails.