Pain : ces personnes qui devraient en limiter la consommation
Si le pain est un aliment incontournable pour beaucoup, il n'est pas adapté à tous. Certains profils gagneraient à en réduire leur consommation pour préserver leur bien-être, tout en continuant à se faire plaisir. Découvrez qui est concerné et pourquoi.
Le pain, cet allié gourmand qui a tout bon (ou presque)
Difficile de résister à l’appel d’une tartine bien croustillante ! Au petit-déj, en encas ou pour un repas sur le pouce, ses glucides nous donnent un vrai coup de fouet. Saviez-vous qu’il nous fournit aussi un apport non négligeable en calcium ? Quatre tranches comblent environ 20% de nos besoins journaliers – une aubaine pour notre capital osseux !
Indispensable dans nos vies pressées, il calme rapidement les petites faims. Mais comme souvent, l’excès peut devenir contre-productif. Tout dépend de votre métabolisme et de vos besoins spécifiques.
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Quand notre ventre fait la grimace
Sensation de lourdeur après manger ? Le pain blanc, avec son gluten parfois difficile à digérer, peut amplifier ces désagréments, particulièrement chez les personnes sensibles ou âgées. Pour un confort digestif optimal, pensez aux alternatives comme le riz complet ou les purées de légumes, bien plus douces avec nos intestins.
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Attention si vous avez un terrain diabétique ou cardiaque
Les pains du commerce, souvent trop riches en sel et en amidon modifié, ne font pas bon ménage avec les problèmes de glycémie ou d’hypertension. Préférez des accompagnements à assimilation lente comme les pois chiches ou le quinoa, qui évitent les pics insuliniques tout en protégeant votre cœur.
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L’ami (ou l’ennemi) de votre silhouette
Un simple sandwich peut vite devenir un piège calorique ! Sans tomber dans l’obsession, mieux vaut privilégier les versions au levain ou aux céréales, plus nourrissantes et moins denses énergétiquement. L’astuce ? Écouter sa satiété et varier les plaisirs.
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Protégez vos reins sans renoncer au plaisir
Female hand holding model of human kidney organ at back of body
Les charcuteries et pains industriels surchargent nos émonctoires avec leur sel caché. Pour alléger la tâche de nos reins, on mise sur des féculents naturellement pauvres en sodium comme le potimarron ou le fonio, qui préservent l’équilibre hydro-électrolytique.
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Le coup de pompe de fin d’après-midi ? Le pain peut en être responsable
Baisse d’énergie récurrente vers 16h ? Les pains blancs, vidés de leurs nutriments lors du raffinage, créent des montagnes russes glycémiques. La solution : des glucides complexes comme l’épeautre ou les haricots, véritables carburants longue durée.
**Manger intelligent, c’est savoir varier ses sources de glucides selon ses besoins du moment.**
