Médicament, famine et répartie : la riposte savoureuse d’une épouse à bout de patience

Les aléas du mariage réservent parfois des moments aussi cocasses qu'improbables. Entre un traitement médical inopportun et une femme bien décidée à faire respecter l'heure du repas, cette histoire démontre que la bonne humeur peut désamorcer les situations les plus incongrues. Plongez dans ce récit truculent où l'appétit et l'amour s'entremêlent avec humour.
8h du matin, le premier acte d’une comédie conjugale :
Elle danse devant la cuisinière, les yeux brillants : des œufs baveux, du bacon croustillant, du pain grillé doré… Se retournant vers son partenaire installé à table, elle énumère avec fierté :
« Je te prépare des œufs ? Un peu de bacon ? Du pain toasté ou un smoothie maison ? »
Sa réaction, inattendue :
« C’est adorable, mais le Viagra me coupe complètement la faim. »
Hein ?!
Midi, deuxième épisode :
Déterminée, elle sort du four des quiches miniatures bien dorées et propose des croque-monsieur gourmands.
« Tu commences à avoir faim, mon chéri ? » tente-t-elle, pleine d’espoir.
Même discours :
« Non merci, c’est toujours ce médicament… »
Le dîner, dernière tentative :
Elle y met tout son cœur : un bœuf mariné, une purée onctueuse, un dessert au caramel fondant. Rien n’y fait.
Troisième référence au Viagra. Troisième déclin poli.
C’est alors qu’elle lance, avec un sourire en coin et une pointe d’ironie :
« Dans ce cas, lâche mon bras, mon amour. Moi, je meurs littéralement de faim. »
L’art subtil de l’humour domestique
Ce qui rend cette anecdote si savoureuse ? Ce va-et-vient entre l’investissement culinaire de la femme et sa réplique cinglante. Un sketch conjugal où toute personne ayant cuisiné pour un convive indifférent reconnaîtra cette frustration amusée.
Ces moments de décalage sont l’épice du quotidien à deux. Entre sous-entendus et piques bienveillantes, ils transforment un repas refusé en souvenir mémorable.
Messieurs, un petit conseil : si un traitement médical vous enlève l’appétit, offrez au moins à votre partenaire le plaisir d’une répartie bien sentie.